Je découvre à ma grande surprise et malgré la trame, une jolie fissure derrière le volet intérieur.
( !?) Même pas grave.
Et on remet les meubles en place sept mois après le début des travaux !
Une fois les enduits terminés, je repasse une couche de peinture sur la partie haute du mur et sur les baguettes de finition...
Même chose pour le reste des murs mais en plus rapide avec un geste plus assuré !!
Après application de la seconde couche.
La toile de sisal que j'avais mise de côté pour offrir une armature à l'enduit de finition s'avère trop épaisse et les mailles pas assez espacées...
Ici, ma première couche d'enduit n'est pas assez humide, au contact du mur c'est encore pire, résultat, j'ai du mal à insérer la trame. Pour les autres murs, je prépare un enduit plus "humide" et j'applique la trame plus rapidement...
Vient ensuite la deuxième couche d'enduit qui recouvre la trame.
Allez, je me jette à l'eau ! Mon premier enduit tout seul...
Voici, la première couche dans laquelle je vais tenté d'insérer une armature.
La terre récoltée à Rogerville étant assez argileuse, les tests préalables ont montré qu'un dosage d'un volume de terre pour deux volumes de sable offrait un bon rendu, sans fissuration ni "farinage".
Je pose ensuite les plinthes et les baguettes de finitions qui encadreront l'enduit...
... puis une deuxième.
Le badigeon est appliqué au rouleau. Une première couche...
Préparation des matériaux pour l'application d'un badigeon amélioré d'un pourcentage de farine de blé. Mon manque d'expérience dans le domaine me pousse à prendre des précautions qui ne sont peut-être pas nécessaires mais j'ai préféré plus que pas assez...!
Suite à l'intervention de l'entreprise pour le traitement du mérule, la partie basse des murs de ma chambre a été tronçonnée sur une hauteur de 80 cm environ. Après avoir remplacé l'isolant, les rails et le placo, j'entreprends une finition à base de terre sur une hauteur d'un mètre.
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